Quels critères prendre en compte avant de rejoindre une entreprise dans l’ingénierie ?

Quels critères prendre en compte avant de rejoindre une entreprise dans l’ingénierie ?

Faire le choix d’une carrière dans l’ingénierie ouvre de nombreuses options d’évolution, de spécialisation et de typologies d’entreprises et de secteurs.  Quels critères prendre en compte en tant qu’ingénieur lorsque l’on recherche un premier emploi ou une nouvelle aventure ? Si certains points sont applicables à différents domaines, d’autres sont plus spécifiques au secteur de l’ingénierie. Le type de projets sur lesquels vous allez travailler : sont-ils de nature technique complexe, à la pointe de la technologie ou de grande envergure ? Vous permettront-ils de relever des défis uniques qui vous pousseront à grandir professionnellement, si c’est ce à quoi vous aspirez ?   La place de l’innovation dans l’entreprise : dans quelle mesure la société auprès de laquelle vous postulez investit-elle dans la recherche et le développement ? Un engagement marqué envers l’innovation peut signifier des opportunités d’apprentissage intéressantes. Les possibilités de formation continue et de développement professionnel : l’entreprise encourage-t-elle ses collaborateurs à se former ? Propose-t-elle des programmes de parrainage, des ateliers, des présentations ou des échanges pour maintenir à jour vos compétences d’ingénierie ? Les outils et technologies : quels sont les outils et les technologies utilisés par l’entreprise ? Sont-ils à jour et pertinents pour votre domaine d’expertise en ingénierie ? De nouveaux outils sont-ils testés ? Un laboratoire existe-t-il dans l’entreprise pour réaliser ses propres opérations d’intégration physique ? Équilibre entre spécialisation et polyvalence : L’entreprise valorise-t-elle la profondeur d’expertise (spécialisation) ou l’étendue de compétences (polyvalence) ? Serez-vous spécialisé(e) tout au long de votre passage au sein de cette société ou aurez-vous la possibilité de varier les projets, secteurs et expertises pour ouvrir vos...
Faut-il utiliser l’IA dans le processus de recrutement ?

Faut-il utiliser l’IA dans le processus de recrutement ?

Beaucoup de promesses sont faites à l’heure où l’Intelligence Artificielle (IA) se démocratise (ChatGPT en étant le meilleur exemple aujourd’hui). Qu’en est-il du côté des Ressources Humaines, et en particulier de la politique recrutement ?  Si au niveau du groupe Ametra, c’est un outil qui peut aujourd’hui nous guider dans certaines réflexions et optimiser des points spécifiques du processus de recrutement, ChatGPT n’est en aucun cas un outil de décision finale ni même un outil qui intervient dans le tri des candidatures ou dans les échanges avec les candidats.  L’intelligence artificielle soulève en effet des questions éthiques et de relations humaines, ce qui entraîne, notamment dans le domaine des ressources humaines, la nécessité de prendre des précautions spécifiques. Il est essentiel pour nous de ne surtout pas traiter un candidat comme un numéro ou une ligne de données !  Le recours à l’IA comme source d’optimisation : dans quels cas ?  ChatGPT, pour ne citer que cet outil, peut être un support supplémentaire pour les réflexions au quotidien.  Il ouvre des opportunités pour optimiser le processus de recrutement, en accélérant et en enrichissant par exemple la description des fiches de postes… De ce point de vue, l’IA est très utile pour vulgariser nos métiers afin qu’une annonce soit la plus compréhensible possible par un public extérieur à la société. Un autre point intéressant de l’optimisation est de pouvoir aisément synthétiser notre approche, les valeurs de l’entreprise et le type de candidats recherchés. Si chaque personne est unique, le processus de recrutement implique toutefois de rechercher un ADN commun entre le groupe et les candidats. A quoi cela peut-il ressembler...
Comment Styrel, groupe Ametra a conçu un système de test innovant pour L’Oréal

Comment Styrel, groupe Ametra a conçu un système de test innovant pour L’Oréal

Styrel-Ametra Group accompagne L’Oréal depuis plusieurs années dans la mise au point d’équipements R&D pour les Laboratoires en Ile-de-France, en tant qu’intégrateur de solution d’ingénierie complète. C’est dans ce contexte que nos experts ont été amenés à mener un projet cobotique novateur destiné à créer un système de test autonome basé sur un robot collaboratif, capable d’évoluer dans un environnement de formulation au sein de laboratoires L’Oréal.  Ses objectifs ?  En premier lieu, réduire les troubles musculo squelettiques (TMS) en remplaçant de manière très précise les mouvements récurrents des équipes de chimistes, et permettre à ces derniers de pouvoir travailler sur des missions “cœur de métier” à plus forte valeur ajoutée.  Le cobot interagit avec les humains au sein des laboratoires et réitère une série de mouvements sans jamais dériver, ce qui répond à la demande de répétabilité. Ensuite, le gain de temps généré sur l’analyse des formules et de leurs évolutions est très important. Il devient possible de lancer des essais le soir et de les récupérer le matin en toute autonomie. Les principaux apports du système cobotique conçu par Styrel / Ametra groupe peuvent donc être résumés ainsi :  réduction des TMS, répétabilité des essais, travail en autonomie du cobot avec une sécurisation des résultats, hausse de la disponibilité métier pour l’analyse des résultats et l’évolution des formules. Les solutions apportées par Styrel, filiale du groupe Ametra  Styrel a mis en place plusieurs solutions novatrices, dont une basée sur la technologie cobotique avec une supervision via un cRIO de National Instruments (NI) :  architecture flexible, dimension software sous LabVIEW et Python, dimension hardware et cobotique, intervention sur...
Ametra et Styrel : 13 ans d’expertise aux côtés de l’Institut d’Astrophysique de Saclay

Ametra et Styrel : 13 ans d’expertise aux côtés de l’Institut d’Astrophysique de Saclay

Le CNRS-IAS (Institut d’Astrophysique Spatiale) réalise pour l’industrie aéronautique et spatiale des étalonnages de systèmes dans le but de caractériser des manipulations de mesures embarquées. C’est dans ce contexte qu’est intervenu Styrel, établissement filiale du groupe Ametra. Il s’agit de l’un des premiers projets traités pour l’IAS : son objectif est de fournir des moyens au sol pour caractériser et paramétrer des éléments qui partiront dans l’espace (étalonnage des caméras infrarouges et de tout élément qui sera utilisé pour mesurer dans le vide spatial). Différents types d’objets sont concernés, des plus petits aux très gros. L’IAS a notamment sollicité Styrel et Ametra pour son imposante station d’étalonnage Jupiter, une cuve de 20m³ de volume où peut être placée un satellite complet. aperçu de la station JUPITER  Cette collaboration remonte déjà à plus d’une décennie, puisque la première installation a été mise en œuvre en 2010.  Un 1er projet couronné de succès : le développement du système de pilotage du simulateur de vide spatial de l’IAS Le simulateur spatial Jupiter est un ensemble d’éléments (chambre à vide de 20 m3, dispositif de pompage, systèmes de contrôle-commande) répartis sur deux niveaux, permettant d’effectuer, dans un environnement de vide thermique et de propreté, des tests fonctionnels et d’étalonnage sur les instruments développés dans les laboratoires spatiaux. Les attentes de l’IAS étaient multiples sur ce projet :  Concevoir, réaliser et mettre en service un système de contrôle-commande du pompage du simulateur de vide spatial Jupiter. Développer un système totalement automatisé de Contrôle-Commande, Acquisition et Traitement de Données pour neuf sous-ensembles (pompe cryogénique, enceinte de vide niveau spatial, chariots manipulateurs, etc.) Intégrer des fonctions...
Ametra and Styrel: 13 years of expertise alongside the Saclay Institute of Astrophysics

Ametra and Styrel: 13 years of expertise alongside the Saclay Institute of Astrophysics

The CNRS-IAS (Institute of Space Astrophysics) performs system calibrations for the aeronautics and space industry in order to characterise on-board measurement manipulations. This is the context in which Styrel, a subsidiary of the Ametra group, has intervened. This is one of the first projects handled for the IAS: its objective is to provide ground-based resources to characterise and parameterise elements that will be sent into space (calibration of infrared cameras and any element that will be used to measure in the vacuum of space). Various types of objects are involved, from the smallest to the largest. The IAS has called on Styrel and Ametra for its impressive Jupiter calibration station, a 20m³ volume tank where a complete satellite can be placed. overview of the JUPITER station  This collaboration already goes back more than a decade, since the first installation was implemented in 2010.  A first successful project: the development of the control system for the IAS space vacuum simulator The Jupiter space simulator is a set of elements (20 m3 vacuum chamber, pumping device, control systems) spread over two levels, allowing functional and calibration tests to be carried out on instruments developed in space laboratories in a thermal vacuum and clean environment. The IAS had many expectations of this project:  Design, build and commission a pumping control system for the Jupiter space vacuum simulator . Develop a fully automated Command and Control, Data Acquisition and Processing system for nine sub-assemblies (cryogenic pump, space-level vacuum chamber, manipulator trolleys, etc.) Integrate automatic and essential safety functions.  Styrel took up the challenge and delivered nine sub-assemblies (electrical cabinets) incorporating NI CompactRIO hardware...
Drones sous-marins : l’innovation française rayonne entre acteurs historiques et nouveaux champions

Drones sous-marins : l’innovation française rayonne entre acteurs historiques et nouveaux champions

Le salon Euronaval 2022 a été l’occasion de découvrir les plus belles innovations du secteur. Parmi elles : des drones sous-marins aux capacités toujours plus impressionnantes.  C’est justement à cette occasion qu’ECA Group et iXblue ont officialisé leur rapprochement sous la forme d’une nouvelle entité : Exail. Ce regroupement en fait l’un des acteurs mondiaux majeurs dans les domaines du maritime, de la navigation et de la robotique, mais aussi dans les secteurs de l’aéronautique, de la photonique et du spatial. Drones sous-marins, systèmes de détection avancée dont les systèmes anti-mines… Exail est sans conteste l’émergence d’une nouvelle star au sein d’un secteur déjà marqué par les avancées d’acteurs historiques performants et reconnus internationalement.  Parmi ces derniers, on peut notamment citer Thales Underwater Systems, avec notamment ses modules MLCM permettant de lutter contre les mines, mais aussi Naval Group et son démonstrateur de drone sous-marin océanique DSMO.  Les différentes initiatives en la matière montrent bien à quel point ce que l’on qualifie déjà de dronisation navale est clé dans les années à venir : « Moins coûteux à l’achat et à l’utilisation que des unités habitées, les drones navals connaissent aujourd’hui une dynamique de fort développement. Dans leurs composantes aéronavale, mais aussi de surface et sous-marine, ils font office de multiplicateur de force« . (c) Ifri Retrouvez dès maintenant tous nos articles dédiés au secteur naval et aux drones et n’oubliez pas de nous rejoindre sur LinkedIn !  Image principale : © Ametra – stand Exail au salon Euronaval 2022...
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