Ametra et Styrel : 13 ans d’expertise aux côtés de l’Institut d’Astrophysique de Saclay

Ametra et Styrel : 13 ans d’expertise aux côtés de l’Institut d’Astrophysique de Saclay

Le CNRS-IAS (Institut d’Astrophysique Spatiale) réalise pour l’industrie aéronautique et spatiale des étalonnages de systèmes dans le but de caractériser des manipulations de mesures embarquées. C’est dans ce contexte qu’est intervenu Styrel, établissement filiale du groupe Ametra. Il s’agit de l’un des premiers projets traités pour l’IAS : son objectif est de fournir des moyens au sol pour caractériser et paramétrer des éléments qui partiront dans l’espace (étalonnage des caméras infrarouges et de tout élément qui sera utilisé pour mesurer dans le vide spatial). Différents types d’objets sont concernés, des plus petits aux très gros. L’IAS a notamment sollicité Styrel et Ametra pour son imposante station d’étalonnage Jupiter, une cuve de 20m³ de volume où peut être placée un satellite complet. aperçu de la station JUPITER  Cette collaboration remonte déjà à plus d’une décennie, puisque la première installation a été mise en œuvre en 2010.  Un 1er projet couronné de succès : le développement du système de pilotage du simulateur de vide spatial de l’IAS Le simulateur spatial Jupiter est un ensemble d’éléments (chambre à vide de 20 m3, dispositif de pompage, systèmes de contrôle-commande) répartis sur deux niveaux, permettant d’effectuer, dans un environnement de vide thermique et de propreté, des tests fonctionnels et d’étalonnage sur les instruments développés dans les laboratoires spatiaux. Les attentes de l’IAS étaient multiples sur ce projet :  Concevoir, réaliser et mettre en service un système de contrôle-commande du pompage du simulateur de vide spatial Jupiter. Développer un système totalement automatisé de Contrôle-Commande, Acquisition et Traitement de Données pour neuf sous-ensembles (pompe cryogénique, enceinte de vide niveau spatial, chariots manipulateurs, etc.) Intégrer des fonctions...
Ametra and Styrel: 13 years of expertise alongside the Saclay Institute of Astrophysics

Ametra and Styrel: 13 years of expertise alongside the Saclay Institute of Astrophysics

The CNRS-IAS (Institute of Space Astrophysics) performs system calibrations for the aeronautics and space industry in order to characterise on-board measurement manipulations. This is the context in which Styrel, a subsidiary of the Ametra group, has intervened. This is one of the first projects handled for the IAS: its objective is to provide ground-based resources to characterise and parameterise elements that will be sent into space (calibration of infrared cameras and any element that will be used to measure in the vacuum of space). Various types of objects are involved, from the smallest to the largest. The IAS has called on Styrel and Ametra for its impressive Jupiter calibration station, a 20m³ volume tank where a complete satellite can be placed. overview of the JUPITER station  This collaboration already goes back more than a decade, since the first installation was implemented in 2010.  A first successful project: the development of the control system for the IAS space vacuum simulator The Jupiter space simulator is a set of elements (20 m3 vacuum chamber, pumping device, control systems) spread over two levels, allowing functional and calibration tests to be carried out on instruments developed in space laboratories in a thermal vacuum and clean environment. The IAS had many expectations of this project:  Design, build and commission a pumping control system for the Jupiter space vacuum simulator . Develop a fully automated Command and Control, Data Acquisition and Processing system for nine sub-assemblies (cryogenic pump, space-level vacuum chamber, manipulator trolleys, etc.) Integrate automatic and essential safety functions.  Styrel took up the challenge and delivered nine sub-assemblies (electrical cabinets) incorporating NI CompactRIO hardware...
Le management technique de proximité : un atout de taille dans l’ingénierie

Le management technique de proximité : un atout de taille dans l’ingénierie

Les choix managériaux impactent directement la vie quotidienne et les perspectives d’évolution des collaborateurs.  C’est d’autant plus vrai dans l’ingénierie.  A la différence de nombreuses sociétés de prestation et d’audit généralistes, le groupe Ametra a choisi de rattacher chacun de ses employés à un vrai manager technique (et non pas à un profil purement commercial). Nos managers sont avant tout des ingénieurs ou profils issus de la filière technique.  Cela marque une différence notable sur de nombreux points :  Un manager technique sait de quoi il parle avec les membres de son équipe. Il partage avec eux une vraie expérience métier et terrain. Chez nous par exemple, un manager d’équipe en mécanique vient de ce cursus et a ensuite évolué vers une fonction managériale ;  Cette dimension technique est doublée d’une forte proximité du suivi : résolution des problèmes rencontrés, mise en place de formations, organisation de la montée en compétences…  Des points réguliers formels ou informels se tiennent régulièrement chaque semaine, en particulier au sein du bureau d’études. Lorsqu’un collaborateur est en mission chez un client, les contacts sont multipliés par téléphone, mail ou en physique tous les mois. Il peut bien sûr solliciter son manager à tout moment en cas de besoin ou question. En d’autres termes : l’organisation d’Ametra repose sur la conviction que les ingénieurs managent mieux les ingénieurs. Les managers parlent le même langage que leurs équipes, ce qui améliore considérablement l’accompagnement de chacun et la résolution de problèmes.  Ce choix d’organisation favorise aussi l’évolution interne En mettant à l’honneur des managers au profil technique, Ametra donne ainsi la possibilité à toutes les personnes...
Projet Bosphore : comment le groupe Ametra a contribué à la conception du plus long pont suspendu au monde

Projet Bosphore : comment le groupe Ametra a contribué à la conception du plus long pont suspendu au monde

Au mois de mars 2022, la Turquie a inauguré le “pont de Canakkale 1915” au-dessus du détroit des Dardanelles, frontière naturelle entre l’Asie et l’Europe. Long de 4608 mètres et d’une portée (distance entre les 2 piles) de plus de 2 kilomètres, il décroche le record du plus long pont suspendu au monde. Un système de capteurs ambitieux et complet  Le groupe Ametra, via sa filiale Styrel, a travaillé sur des coffrets destinés à monitorer et mesurer en permanence les conditions environnementales et les réactions du pont.    Ces coffrets consistent en des boîtiers à l’intérieur desquels se trouve de l’électronique permettant à un ensemble de capteurs de prendre des mesures physiques du pont : vibrations, déformation physique, accéléromètres, mesures thermiques, optiques, surveillance des caractéristiques physiques du pont pour voir si la structure ne subit pas de dommages…  Tout est conçu pour assurer un système fiable et exhaustif de monitoring.  De par sa taille et son emplacement, le pont peut par exemple connaître des effets Venturi (ce qui historiquement a provoqué plusieurs écroulements de ponts à travers le monde). Il était donc important de tout mettre en place pour suivre l’intégralité des mesures physiques disponibles, de la température de la chaussée à celle des câbles de maintien en passant par la mesure des distances, l’écartement entre les piles ou encore celui des suspentes.  Avec tous ces capteurs et boîtiers, Ametra a contribué à mettre en place un système très complet pour s’assurer que le pont ne connaisse pas de déformation trop prononcée qui dépasserait les limites fixées par ses ingénieurs, architectes et concepteurs :  vents (jusqu’à 250 km/h) pression...
Nouveaux locaux à Paris Sud et Bordeaux : Ametra s’agrandit !

Nouveaux locaux à Paris Sud et Bordeaux : Ametra s’agrandit !

Le groupe Ametra, c’est avant tout un ensemble d’agences régionales destinées à être implantées au plus près de ses clients. La proximité compte ! Deux d’entre elles ont récemment déménagé.  Déménager ses bureaux en Ile-de-France ou dans la région bordelaise, rien de plus commun a priori… sauf lorsque ce type de déplacement a pour objectif principal d’améliorer la vie de ses collaborateurs tout en étant au plus près de ses clients.  Comment se traduisent ces choix ?  On fait le point dans cet article. Une meilleure qualité de vie au travail, ce n’est pas une déclaration : c’est très concret L’évolution des modes de travail appelle une adaptation de l’environnement dans lequel les collaborateurs travaillent au quotidien. C’est pourquoi les nouveaux locaux choisis par Ametra permettent de : gagner en espace (+50% de superficie en moyenne) ; créer de nouveaux espaces hybrides de travail : chaises hautes, alcôves pour des échanges plus informels au sein du bureau d’études… ; se réunir dans des salles de réunion plus conviviales ; favoriser les interactions entre jeunes ingénieurs et mentors grâce des assises déplaçables permettant d’évoluer d’un poste de travail à un autre en quelques secondes…  Ci-dessous, le choix d’aménagements hybrides pour répondre à tous les besoins   Désormais, les équipes de ces agences pourront profiter d’espaces évolutifs et conviviaux qui répondent aux différents modes d’interactions et besoins dans leur quotidien.  Autre point important : disposer d’un cadre de travail plus moderne, spacieux et agréable n’a de sens que si les collaborateurs n’ont pas de temps de transport supplémentaire à prévoir. C’est pourquoi Ametra a longuement cherché ses nouveaux bureaux dans les...
La formation cotation fonctionnelle chez Naval Group Indret 

La formation cotation fonctionnelle chez Naval Group Indret 

Le groupe Ametra est officiellement habilité à mener des formations en analyse fonctionnelle, l’un des cœurs de métier des bureaux d’études (BE). Si nos collaborateurs peuvent être formés à l’analyse fonctionnelle, c’est aussi le cas de plusieurs de nos clients, dont Naval Group. La cotation fonctionnelle comme langage commun  L’approche est de travailler sur le besoin fonctionnel d’une pièce ou d’un système, c’est-à-dire sur les fonctions attendues de ces derniers, et d’en faire la modélisation 3D et la mise en plans à partir de cette base et du cahier des charges. En France, cette méthode repose sur les normes ISO.  Il est essentiel de rappeler que la cotation fonctionnelle est avant tout un langage commun important à développer entre tous les BE, mais aussi entre les BE et les services de production, ainsi que les services qualité qui contrôlent les pièces à leur sortie de fabrication. Quel que soit le pays, ce langage doit pouvoir être compris partout – et ce même si les normes varient selon le territoire.  Si l’on souhaite par exemple fabriquer des pièces en Chine à partir de plans européens, il est important d’arriver à un plan lisible par tous avec le même référentiel, la même grammaire, le même vocabulaire. Tous les intervenants doivent se comprendre via un plan de définition. Formation en analyse fonctionnelle : qui est concerné ?  Chez Ametra, les demandeurs de formation sont majoritairement des clients qui connaissent et apprécient l’expertise du bureau d’études. Au fil des prestations, échanger sur les plans livrés fait naître une curiosité qui aboutit à l’envie d’aller plus loin en se formant à cette approche. Pour...
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