par Ametra | Juil 25, 2023 | Actualités, Carrière & RH
Faire le choix d’une carrière dans l’ingénierie ouvre de nombreuses options d’évolution, de spécialisation et de typologies d’entreprises et de secteurs. Quels critères prendre en compte en tant qu’ingénieur lorsque l’on recherche un premier emploi ou une nouvelle aventure ? Si certains points sont applicables à différents domaines, d’autres sont plus spécifiques au secteur de l’ingénierie. Le type de projets sur lesquels vous allez travailler : sont-ils de nature technique complexe, à la pointe de la technologie ou de grande envergure ? Vous permettront-ils de relever des défis uniques qui vous pousseront à grandir professionnellement, si c’est ce à quoi vous aspirez ? La place de l’innovation dans l’entreprise : dans quelle mesure la société auprès de laquelle vous postulez investit-elle dans la recherche et le développement ? Un engagement marqué envers l’innovation peut signifier des opportunités d’apprentissage intéressantes. Les possibilités de formation continue et de développement professionnel : l’entreprise encourage-t-elle ses collaborateurs à se former ? Propose-t-elle des programmes de parrainage, des ateliers, des présentations ou des échanges pour maintenir à jour vos compétences d’ingénierie ? Les outils et technologies : quels sont les outils et les technologies utilisés par l’entreprise ? Sont-ils à jour et pertinents pour votre domaine d’expertise en ingénierie ? De nouveaux outils sont-ils testés ? Un laboratoire existe-t-il dans l’entreprise pour réaliser ses propres opérations d’intégration physique ? Équilibre entre spécialisation et polyvalence : L’entreprise valorise-t-elle la profondeur d’expertise (spécialisation) ou l’étendue de compétences (polyvalence) ? Serez-vous spécialisé(e) tout au long de votre passage au sein de cette société ou aurez-vous la possibilité de varier les projets, secteurs et expertises pour ouvrir vos...
par Florence | Juil 25, 2023 | Actualités, Carrière & RH
Beaucoup de promesses sont faites à l’heure où l’Intelligence Artificielle (IA) se démocratise (ChatGPT en étant le meilleur exemple aujourd’hui). Qu’en est-il du côté des Ressources Humaines, et en particulier de la politique recrutement ? Si au niveau du groupe Ametra, c’est un outil qui peut aujourd’hui nous guider dans certaines réflexions et optimiser des points spécifiques du processus de recrutement, ChatGPT n’est en aucun cas un outil de décision finale ni même un outil qui intervient dans le tri des candidatures ou dans les échanges avec les candidats. L’intelligence artificielle soulève en effet des questions éthiques et de relations humaines, ce qui entraîne, notamment dans le domaine des ressources humaines, la nécessité de prendre des précautions spécifiques. Il est essentiel pour nous de ne surtout pas traiter un candidat comme un numéro ou une ligne de données ! Le recours à l’IA comme source d’optimisation : dans quels cas ? ChatGPT, pour ne citer que cet outil, peut être un support supplémentaire pour les réflexions au quotidien. Il ouvre des opportunités pour optimiser le processus de recrutement, en accélérant et en enrichissant par exemple la description des fiches de postes… De ce point de vue, l’IA est très utile pour vulgariser nos métiers afin qu’une annonce soit la plus compréhensible possible par un public extérieur à la société. Un autre point intéressant de l’optimisation est de pouvoir aisément synthétiser notre approche, les valeurs de l’entreprise et le type de candidats recherchés. Si chaque personne est unique, le processus de recrutement implique toutefois de rechercher un ADN commun entre le groupe et les candidats. A quoi cela peut-il ressembler...
par Mathieu et Edwin | Juil 3, 2023 | Carrière & RH, Formation
Dans un domaine aussi dynamique et en constante évolution que l’ingénierie, le développement et le maintien des compétences techniques n’ont jamais été aussi indispensables qu’aujourd’hui. L’expertise technique de nos ingénieurs et techniciens est primordiale pour répondre aux défis complexes posés par nos clients. Dans ce contexte et depuis des années, le groupe Ametra s’engage activement dans la formation régulière de ses collaborateurs… au point d’ailleurs d’avoir développé sa propre activité de formation au travers de sa filiale Styrel. De la formation de nos collaborateurs à celle de nos clients : un ADN de transmission A l’origine, Ametra a d’abord mis en place un processus de formation à destination de ses collaborateurs dans une logique de mentorat. Sa qualité était telle que le groupe a décidé de structurer et d’ouvrir ses formations pour l’ouvrir à ses clients qui le souhaitent, jusqu’à développer un organisme désormais reconnu pour son expertise technique en informatique industrielle (Styrel) et en mécanique (Ametra Engineering). Les formations se distinguent particulièrement par 4 caractéristiques : l’expertise technique un accompagnement pédagogique fort par des formateurs expérimentés des formations orientées pratique un vrai “avant/après” pour chaque formation. Les participants soulignent régulièrement l’excellent rapport gain/temps passé (gain de performance, de productivité, de niveau de compétences…) Pour aller plus loin dans sa démarche qualité, le groupe Ametra a souhaité faire valider les formations Styrel via la certification QUALIOPI. Pour rappel, cette dernière “atteste de la qualité des prestations proposées par les organismes de formation sur la base du Référentiel National Qualité.” La formation continue : un atout de taille en ingénierie Le choix (et la possibilité) de se former tout au...
par Nicolas | Déc 12, 2022 | Bureau d'études, Carrière & RH
Les choix managériaux impactent directement la vie quotidienne et les perspectives d’évolution des collaborateurs. C’est d’autant plus vrai dans l’ingénierie. A la différence de nombreuses sociétés de prestation et d’audit généralistes, le groupe Ametra a choisi de rattacher chacun de ses employés à un vrai manager technique (et non pas à un profil purement commercial). Nos managers sont avant tout des ingénieurs ou profils issus de la filière technique. Cela marque une différence notable sur de nombreux points : Un manager technique sait de quoi il parle avec les membres de son équipe. Il partage avec eux une vraie expérience métier et terrain. Chez nous par exemple, un manager d’équipe en mécanique vient de ce cursus et a ensuite évolué vers une fonction managériale ; Cette dimension technique est doublée d’une forte proximité du suivi : résolution des problèmes rencontrés, mise en place de formations, organisation de la montée en compétences… Des points réguliers formels ou informels se tiennent régulièrement chaque semaine, en particulier au sein du bureau d’études. Lorsqu’un collaborateur est en mission chez un client, les contacts sont multipliés par téléphone, mail ou en physique tous les mois. Il peut bien sûr solliciter son manager à tout moment en cas de besoin ou question. En d’autres termes : l’organisation d’Ametra repose sur la conviction que les ingénieurs managent mieux les ingénieurs. Les managers parlent le même langage que leurs équipes, ce qui améliore considérablement l’accompagnement de chacun et la résolution de problèmes. Ce choix d’organisation favorise aussi l’évolution interne En mettant à l’honneur des managers au profil technique, Ametra donne ainsi la possibilité à toutes les personnes...
par Ametra | Avr 4, 2022 | Bureau d'études, Carrière & RH
Cela faisait longtemps que le taux de chômage n’avait pas été aussi bas en France. Ce phénomène semble s’installer, ce qui a pour conséquence le renforcement de la pénurie de main-d’œuvre technique qualifiée. Pas assez d’ingénieurs formés Chaque année, 40 000 nouveaux ingénieurs sont diplômés en France. Un volume loin d’être suffisant pour répondre aux besoins de transformation de l’économie et la société. Actuellement, les entreprises d’ingénierie recrutent un peu plus de 80 000 collaborateurs par an et sur tout le territoire. Si ce chiffre peut paraître important, il est insuffisant : les entreprises souffrent d’un sous-effectif structurel de l’ordre de 2 à 4 %. L’économie française a besoin de 50 000 à 60 000 nouveaux ingénieurs diplômés par an. Une des solutions serait de former davantage d’ingénieurs. Plusieurs évaluations nationales (Cedre, JDC) et enquêtes internationales (Pisa, Timss) pointent un décrochage des élèves en mathématiques dès le primaire, décrochage qui se confirme au collège. Cette situation est d’autant plus inquiétante qu’elle est socialement très discriminante, le décrochage étant plus marqué chez les élèves issus de milieux défavorisés. Ce phénomène contribue à leur sous-représentation dans les formations scientifiques et dans les écoles d’ingénieurs au profit des enfants de cadres supérieurs, d’enseignants ou de professions libérales. Favoriser une ouverture sociale des filières techniques longues serait donc un axe sur lequel les entreprises, au côté des écoles, pourraient contribuer à travailler, afin d’augmenter le nombre de diplômés. Ainsi, les Ambassadeurs de l’Ingénierie, une initiative du Syntec pour envoyer de jeunes actifs parler de leur métier dans les collèges et lycées, pourraient cibler en priorité les établissements de quartiers populaires. On ne peut occulter également la préférence...
par Jonathan Ackermann | Oct 11, 2021 | Actualités, Bureau d'études, Carrière & RH, Expertise, Industrie
Les possibilités d’évolution de carrière sont un argument souvent fortement mis en avant par la plupart des entreprises industrielles et de services. Au sein du groupe Ametra, accompagner le plan de carrière est avant tout une réalité très concrète. Dès les premiers entretiens, le futur collaborateur peut déjà partager sa vision de l’avenir : a-t-il plutôt envie d’évoluer vers de la gestion de projet ? De devenir expert technique, manager ou encore ingénieur commercial ? Il est fréquent chez Ametra de pouvoir construire sa carrière de cette manière : certains ont fait des études d’ingénieur, puis sont passés de chef de projet à manager avant de souhaiter s’impliquer dans le développement commercial… et de telles évolutions ont parfois même eu lieu au retour d’un congé maternité ! Chez Ametra, le plan de carrière inclut toutes les évolutions possibles : verticales : devenir manager rapidement, en quelques années seulement, et gagner en responsabilité et salaire, horizontales : évolution du poste, du secteur, mobilité entre les agences, etc, transversales : même poste avec une dimension de formateur, par exemple. Il est même possible d’envisager d’autres situations, comme un dessinateur ou technicien passé ingénieur grâce aux années d’expérience acquises au sein du groupe (ce que l’on encourage!), ou encore la reprise d’études avant de revenir dans la société. L’une des forces du groupe Ametra : décloisonner les parcours de carrière Il est souvent complexe de pouvoir évoluer de manière flexible dans les grands groupes, ces derniers ayant tendance à capitaliser sur ce que savent déjà faire leurs employés en leur re-proposant le même type de mission tous les 2 ou 3...