Diversité des projets, montée en compétence, ponts entre les métiers, évolution maîtrisée de ses missions… le choix de la polyvalence offert par l’ingénierie est une opportunité qu’il faut savoir saisir dès le début de sa carrière.

Lorsqu’ils sortent de l’école, les jeunes ingénieurs généralistes décident de s’orienter vers tel ou tel profil de société en fonction de leurs compétences et, bien souvent, de la rémunération. Or la polyvalence devrait être un facteur à prendre en compte le plus tôt possible.

Faire les bons choix dès la fin des études : un facteur clé pour se donner plus de marge de manœuvre

Comme nous l’avons déjà évoqué dans cet article, commencer sa carrière de manière agile est recommandé pour les juniors. Cela permet de tester différents secteurs et métiers. Par exemple, dans une société d’ingénierie, un ingénieur électronicien va autant pouvoir travailler dans l’industrie que dans l’énergie, l’aéronautique ou encore la défense. Cette approche est d’autant plus intéressante que chaque secteur a sa façon spécifique de travailler.

En optant pour cette voie dès le départ, l’ingénieur généraliste s’essaie à plusieurs domaines d’activités et peut ensuite choisir tel ou tel secteur, tout en laissant de côté ceux qu’il n’a pas forcément appréciés.

La polyvalence est avant tout un choix

Dans le cadre du Groupe Ametra, de nombreuses personnes rejoignent l’entreprise car elles apprécient la diversité de projets et sont intéressées par le conseil. D’autres vont choisir cette approche car, par exemple, elles ont travaillé 7 ans dans le ferroviaire et ne veulent pas repartir de zéro.

Le choix de la polyvalence est donc une valeur sûre, tout en gagnant le bénéfice de pouvoir évoluer dans différents domaines. C’est une option parfaite pour les gens qui n’aiment pas la routine et sont ouverts à la nouveauté.

La polyvalence n’est pas inhérente à l’ingénierie : c’est un vrai choix qui ne parle pas forcément à tout le monde, en dépit de ses avantages. Une partie des ingénieurs va préférer évoluer dans une zone de confort qui n’implique pas de diversifier régulièrement son activité.

Le management de proximité soutient les envies d’évolution d’un ingénieur

Pour varier en expériences, certains grands groupes ne sont pas forcément l’option la plus adaptée. En effet, ils présentent le risque de se retrouver “enfermé(e)” dans un secteur donné et d’avoir des difficultés à en sortir, même à la fin d’un projet. Le business prend souvent le dessus sur la partie Ressources Humaines.

À l’inverse, dans de plus petites structures (les PME notamment), le management de proximité permet aux collaborateurs de faire ce qu’ils aiment et de travailler sur des sujets pointus et intéressants. C’est d’ailleurs un vrai levier de fidélisation des équipes.

La place fondamentale des formations

Difficile de parler de polyvalence sans parler de l’aspect formation. Selon que le projet se trouve dans X ou Y secteur, le besoin en formation peut varier : outils et processus différents vont créer un besoin de formation ou de certification auquel il faut répondre.

Cela fait partie de l’accompagnement de carrière, qui privilégie cette approche plutôt que de recruter quelqu’un uniquement pour réaliser une tâche donnée. Ainsi, lorsqu’une sortie de mission se prépare, la transition vers la suivante peut se faire via une formation et en profitant des ponts entre certains métiers. Par exemple, le nucléaire a des outils très spécifiques, la mécanique aussi, mais des approches transverses existent. Cette diversité permet à l’ingénieur de monter régulièrement en compétence.

La polyvalence est également une bonne chose pour une entreprise, car elle réduit les risques, en permettant par exemple à un ingénieur qui a déjà connu les grandes familles de la société (aéronautique, industrie, énergie…) de se positionner facilement sur un projet. Cela évite aussi l’intercontrat et donne envie aux collaborateurs de rester.

Favoriser les ponts entre les métiers

Quelqu’un qui dispose d’une formation de base en mécanique va pouvoir par exemple commencer une mission en électronique ou évoluer vers un autre secteur. De même, un ingénieur en mécanique peut toucher à de l’électronique et, si cela lui plaît, décider de pousser dans ce sens en passant directement vers l’électronique ou en évoluant sur un poste mixte (de type mécatronicien).

La polyvalence permet donc ces ponts avec d’autres métiers. C’est un point important que de nombreux jeunes ignorent en sortie d’école. Or, voir un large éventail de choses pour affiner ses goûts professionnels au fil des ans est fondamental pour construire librement sa carrière.

La polyvalence au sein du Groupe Ametra

Ametra favorise la fertilisation croisée, ou fertilisation cross-industrie, qui consiste à appliquer des méthodologies, pratiques, connaissances, outils et ressources d’un secteur à un autre.

Les ingénieurs passent ainsi d’un domaine à un autre au gré des différents projets, ce qui permet de capitaliser les compétences et les innovations, tout en facilitant le décloisonnement des missions.

Cette approche « multi-level » est notamment rendue possible par la variété des domaines d’expertises du Groupe Ametra, ainsi que par sa taille humaine et son organisation des Ressources Humaines.

Pour en savoir plus sur les métiers et expertises du Groupe Ametra, visitez notre site officiel.

Article de Jonathan