Si l’année qui vient de s’écouler a de facto limité les possibilités d’organiser des rencontres, partenariats et participations à des forums en présentiel, la question du partenariat des sociétés d’ingénierie avec les écoles reste plus que jamais à l’ordre du jour.
A quoi ressemble concrètement un partenariat avec une école ?
La relation qui se crée peut revêtir diverses formes :
- Une participation aux forums
- La présentation des métiers et des success stories au sein de la société d’ingénierie, ce qui donne une idée de la culture de l’entreprise. Ainsi, chez Ametra, ces témoignages traduisent le faible turnover, ce qui est rassurant pour les étudiants
- Une intervention directe au sein des écoles, lors d’un cours ou d’une journée portes ouvertes : présentation de la société, conseils pour passer un bon entretien…
- L’animation d’un atelier autour d’une problématique réelle rencontrée par l’entreprise. Ce cadre permet souvent d’obtenir un regard neuf et des axes de réflexion inattendus de la part des étudiants.
Zoom sur le partenariat avec le lycée Gustave Eiffel à Bordeaux
Ametra a par exemple construit une relation privilégiée avec un professeur de technologie d’un établissement bordelais réputé en vue de confier un sujet à certains de ses étudiants dans le cadre de leur BTS CPI (Conception de Projets Industriels).
Nous avons pu identifier un sujet technique que nous avions traité quelques années auparavant. Un groupe d’étudiants a travaillé sur cette problématique tout au long de l’année scolaire, à hauteur de 2 à 3 heures par semaine. Les échanges ont dépassé le cadre physique de l’établissement, puisque les étudiants sont venus régulièrement poser des questions, montrer leur avancement, demander un avis… avant de présenter le traitement du sujet à un jury de l’établissement en fin d’année.
Cet exemple montre qu’il est possible de franchir une barrière parfois difficile à passer, à savoir mettre en relation une équipe pédagogique qui forme des techniciens ou ingénieurs avec le futur employeur potentiel de ces derniers.
Il témoigne des bienfaits d’une communication active entre enseignants et monde de l’industrie au travers d’un projet pédagogique commun.
Derrière ces actions : un partenariat tripartite gagnant
Nouer ces échanges se concrétise majoritairement par un stage ou une alternance à la clé. Le partenariat arrive en amont et permet de constituer une base d’étudiants motivés, là où l’école gagne en vision concrète à transmettre à ces derniers.
Les métiers de l’ingénierie ont besoin en permanence de recruter des ingénieurs, mais aussi des techniciens, des dessinateurs projeteurs, des architectes techniques… Cela implique donc d’être en échange avec les grandes écoles mais aussi les niveaux IUT, BTS ou encore les classes en licence professionnelle. Du bac +2 au bac+5, le spectre d’échanges est donc relativement large : il permet toutefois d’appréhender l’ensemble des profils, et il arrive même que des liens forts soient créés avec des lycées.
Ametra travaille sur la construction de nouveaux partenariats, mais aussi sur l’entretien de relations existantes avec certains établissements, depuis plus de 10 ans parfois.
Lorsque l’on passe un partenariat tripartite avec une école, tout le monde s’y retrouve: l’entreprise bien sûr, mais aussi l’établissement et ses étudiants.
Le partenariat permet de renforcer les liens avec les étudiants, qui sont potentiellement de futurs collaborateurs. Ils vont ainsi se familiariser avec quelques codes professionnels et problématiques très concrètes, via le prisme de l’école.
Au sein d’Ametra, créer cette relation et attirer de jeunes talents contribue aussi à la marque employeur et à la notoriété de l’entreprise, en plus d’être un canal vertueux de recrutement. Du stagiaire à l’alternant, il y a toujours une opportunité de contrat à l’issue des premiers contacts.
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