Notre participation à l’UNM

Notre participation à l’UNM

A la fois enjeu économique, sociétal et environnemental, la normalisation est un processus de longue haleine qui se déploie aussi bien au niveau français qu’européen et international. AMETRA, société du groupe DEROURE, s’y implique en participant activement aux travaux de l’UNM. Qu’est-ce que l’UNM ? L’UNM est l’acronyme qui désigne l’Union de Normalisation de la Mécanique. En tant que bureau de normalisation sectoriel français travaillant par délégation de l’AFNOR, il est en charge de la normalisation dans le domaine de la mécanique, mais aussi du caoutchouc. Son domaine de compétences inclut “les matériels produits et techniques relevant des industries mécanique et transformatrices des métaux et des élastomères (à l’exclusion des pneumatiques), ainsi que le soudage et ses applications”. L’UNM est une association régie par la loi de 1901. Elle prépare notamment : les normes françaises NF (avec un parc d’environ 4000 normes); l’élaboration des normes européennes EN; les normes internationales ISO dans les domaines concernés; Ces normes visent notamment à améliorer la qualité et la sécurité des produits et matériels, mais aussi à intégrer les problématiques environnementales et sociétales. Elles concernent donc aussi bien l’usager final que la production. Tout cela fait de l’Union de Normalisation de la Mécanique le point de rencontre privilégié entre entreprises françaises et autres acteurs de la normalisation. Les normes permettent de partager un même langage au niveau international. L’UNM fait en sorte que les experts se rencontrent, participent et interagissent pour pouvoir faire remonter leurs besoins, demandes et positions communes. Comment AMETRA participe activement à l’UNM Depuis près de 10 ans, AMETRA s’engage pleinement dans l’action de l’UNM. En tant que membre de...
Se préparer à l’ALM : les différentes étapes et une nouvelle manière de concevoir

Se préparer à l’ALM : les différentes étapes et une nouvelle manière de concevoir

La fabrication additive marque une rupture importante avec les procédés traditionnels, puisqu’elle consiste à superposer des couches de matière plutôt qu’en retirer (fabrication soustractive). Se préparer à l’ALM (Additive Layer Manufacturing) implique donc de repenser son approche de l’ingénierie.   Pourquoi ? Une liberté de conception exceptionnelle Avec la fabrication additive, les règles classiques de conception n’ont plus lieu d’être. Cela implique d’avoir une vision fonctionnelle qui ne s’encombre pas de la notion de limites au niveau de la fabrication. De nouvelles combinaisons de matériaux sont rendues possibles La conception de formes n’est pas limitée par le passage d’outils de soustraction Il devient possible de concevoir des systèmes aux géométries innovantes Le coût de fabrication n’est plus lié à la complexité géométrique   La disparition des limites techniques liées à l’usinage, à l’injection ou encore au moulage offre donc un champ de conception remarquablement étendu. Les étapes de la fabrication additive Selon qu’il s’agit d’une fabrication nouvelle ou d’un rechargement, les contraintes liées à chaque étape varient. Les bases restent néanmoins les mêmes. Conception assistée par ordinateur (CAO 3D/ format STL), afin de modéliser le composant et piloter la fabrication (géométrie, matières utilisées, phases du processus, intégration des données de l’optimisation topologique.) Préparation des fichiers : état de surface, prise en compte de la géométrie de la pièce pour les supports, orientation, placement des fichiers, tranchage Phase de fabrication Post-traitement pour les finitions de la pièce (nettoyage, polissage, sablage, traitement thermique, usinage…)   Une étape de qualification de la pièce reste également indispensable aujourd’hui : tests mécaniques, de fatigue, de granulométrie, de porosité. Pour bien préparer son entreprise à l’ALM, il est...
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