Nouveaux locaux à Paris Sud et Bordeaux : Ametra s’agrandit !

Nouveaux locaux à Paris Sud et Bordeaux : Ametra s’agrandit !

Le groupe Ametra, c’est avant tout un ensemble d’agences régionales destinées à être implantées au plus près de ses clients. La proximité compte ! Deux d’entre elles ont récemment déménagé.  Déménager ses bureaux en Ile-de-France ou dans la région bordelaise, rien de plus commun a priori… sauf lorsque ce type de déplacement a pour objectif principal d’améliorer la vie de ses collaborateurs tout en étant au plus près de ses clients.  Comment se traduisent ces choix ?  On fait le point dans cet article. Une meilleure qualité de vie au travail, ce n’est pas une déclaration : c’est très concret L’évolution des modes de travail appelle une adaptation de l’environnement dans lequel les collaborateurs travaillent au quotidien. C’est pourquoi les nouveaux locaux choisis par Ametra permettent de : gagner en espace (+50% de superficie en moyenne) ; créer de nouveaux espaces hybrides de travail : chaises hautes, alcôves pour des échanges plus informels au sein du bureau d’études… ; se réunir dans des salles de réunion plus conviviales ; favoriser les interactions entre jeunes ingénieurs et mentors grâce des assises déplaçables permettant d’évoluer d’un poste de travail à un autre en quelques secondes…  Ci-dessous, le choix d’aménagements hybrides pour répondre à tous les besoins   Désormais, les équipes de ces agences pourront profiter d’espaces évolutifs et conviviaux qui répondent aux différents modes d’interactions et besoins dans leur quotidien.  Autre point important : disposer d’un cadre de travail plus moderne, spacieux et agréable n’a de sens que si les collaborateurs n’ont pas de temps de transport supplémentaire à prévoir. C’est pourquoi Ametra a longuement cherché ses nouveaux bureaux dans les...
Eurosatory 2022 comme si vous y étiez

Eurosatory 2022 comme si vous y étiez

Plus de 60 pays présents, 1800 exposants dont 650 entreprises françaises et une inauguration exceptionnelle par le Président de la République Emmanuel Macron et le ministre des Armées Sébastien Lecornu : après 4 ans d’absence, Eurosatory 2022, le Salon international de la défense et de la sécurité, a particulièrement marqué les esprits. Le contexte international tendu a donné une aura particulière au rendez-vous du 13 au 17 juin 2022 à Villepinte : “l’économie de guerre” vient s’imposer comme le nouveau paradigme. Au programme donc, la présentation de systèmes d’armements variés ( parfois déjà déployés sur le sol ukrainien), véhicules blindés, munitions, robots et drones, armes d’assaut, hélicoptères et chars lourds, mais aussi tout un pan de technologies à usage hybride à fois militaire et civil : Intelligence Artificielle (IA), réalité virtuelle, cybersécurité, robotique… Les grands donneurs d’ordres et autres industriels majeurs n’étaient pas les seuls à participer puisque le salon a d’ailleurs mis à l’honneur Eurosatory LAB, un espace dédié aux start-ups défense et sécurité, au sein duquel près de 80 start-ups de tous horizons et pays ont pu présenter leurs innovations technologiques.  Une 27e édition marquée par le conflit ukrainien et le retour de la guerre “à haute intensité” Eurosatory 2022, “mini-sommet international de la Défense” ? C’est ce qu’on a pu parfois lire dans les médias.  L’inauguration du salon par Emmanuel Macron et la présence de 227 délégations officielles arrivées de 94 pays (dont 1 Premier Ministre, 13 Ministres de la Défense, 5 de l’Intérieur, 42 Chefs d’Etat-Major et 18 représentants d’organisations internationales) ont en effet donné une ampleur particulière à un salon déjà très établi.  ©...
Comment le conflit Ukrainien impacte la Défense européenne

Comment le conflit Ukrainien impacte la Défense européenne

Le conflit en Ukraine, accélérateur d’une Défense européenne commune longtemps lente à se mettre effectivement en place ? C’est ce qui se dessine depuis quelques semaines.  Des réactions rapides et inédites au niveau de l’UE et de ses Etats-membres L’invasion russe perpétrée depuis le 24 février est venue interroger du jour au lendemain la capacité de l’Union à se positionner lorsqu’un conflit armé éclate dans son voisinage immédiat. Ses Etats-membres ont pris des décisions et actions communes inédites jusqu’alors.  La première et plus notable d’entre elles reste l’annonce de la Commission Européenne de l’utilisation d’une enveloppe de 450 millions d’euros « pour fournir aux forces ukrainiennes des armes létales, ainsi que du carburant, des équipements de protection et des fournitures médicales ». Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne, s’est exprimé en ces termes : c’est la fin d’un « tabou voulant que l’Union ne fournisse pas d’armes à des belligérants ». La décision a été aussi inédite que rapide : 3 jours seulement après le début du conflit, un accord a été trouvé au niveau européen pour soutenir les forces ukrainiennes. Certains Etats membres eux-mêmes ont surpris par leurs prises de position et l’Allemagne en est l’exemple le plus frappant.  Après des décennies de refus de livraison d’armes en zone de conflit et une tradition pacifiste non interventionniste, Berlin a accepté de fournir des missiles et lance-roquettes antichars… tout en renforçant son budget de modernisation de sa propre armée (100 milliards d’euros supplémentaires), doublé d’une contribution de plus de 2% de son PIB dédiée à la Défense – ce que la France a également décidé.  Dans le même esprit, la Suède, pourtant...
Les programmes Défense du futur

Les programmes Défense du futur

Avez-vous déjà entendu parler de la Red Team défense ? Ou quand des auteurs et dessinateurs de science-fiction collaborent avec le ministère des Armées pour imaginer les menaces du futur… L’idée peut d’abord surprendre, mais elle rappelle à quel point les programmes militaires doivent sans cesse anticiper les potentiels dangers et scénarios de demain. Défense : les enjeux cruciaux du futur et la multiplication des menaces Nouvelle course à l’armement, terrorisme, exfiltration de ressortissants, Cyber space, dangers en haute mer… tous les Etats, dont la France, se penchent sur la pérennité des systèmes actuels mais aussi les menaces auxquelles il faudra savoir faire face dans les années et décennies à venir. Dans ce contexte, la DGA élabore avec l’État-major des Armées (EMA) ”une vision prospective de la menace, de son évolution à court terme et à long terme, et du système de défense”. C’est ainsi que l’Agence de l’Innovation de Défense (AID) vient fédérer les différentes initiatives d’innovation. Sur quels axes de travail portent les innovations pour imaginer les programmes de Défense de demain ?  l’identification des technologies émergentes les investissements permettant la préparation des futures capacités des forces armées françaises l’innovation participative la captation d’opportunités (issues notamment du secteur civil) Ces travaux de réflexion s’articulent à court et à long termes et sont répartis en 4 types de projets  :  Les PTD : projets de technologies de de défense (anciennement programmes d’études amont) destinés à développer des technologies sur le long terme pour garantir la supériorité opérationnelle et l’autonomie stratégique des armées françaises Les PAI : projets d’accélération d’innovation qui se caractérisent par la montée en maturité du...
Comment les entreprises peuvent contribuer à attirer davantage vers les filières techniques

Comment les entreprises peuvent contribuer à attirer davantage vers les filières techniques

Cela faisait longtemps que le taux de chômage n’avait pas été aussi bas en France. Ce phénomène semble s’installer, ce qui a pour conséquence le renforcement de la pénurie de main-d’œuvre technique qualifiée. Pas assez d’ingénieurs formés Chaque année, 40 000 nouveaux ingénieurs sont diplômés en France. Un volume loin d’être suffisant pour répondre aux besoins de transformation de l’économie et la société.  Actuellement, les entreprises d’ingénierie recrutent un peu plus de 80 000 collaborateurs par an et sur tout le territoire. Si ce chiffre peut paraître important, il est insuffisant : les entreprises souffrent d’un sous-effectif structurel de l’ordre de 2 à 4 %. L’économie française a besoin de 50 000 à 60 000 nouveaux ingénieurs diplômés par an. Une des solutions serait de former davantage d’ingénieurs. Plusieurs évaluations nationales (Cedre, JDC) et enquêtes internationales (Pisa, Timss) pointent un décrochage des élèves en mathématiques dès le primaire, décrochage qui se confirme au collège. Cette situation est d’autant plus inquiétante qu’elle est socialement très discriminante, le décrochage étant plus marqué chez les élèves issus de milieux défavorisés. Ce phénomène contribue à leur sous-représentation dans les formations scientifiques et dans les écoles d’ingénieurs au profit des enfants de cadres supérieurs, d’enseignants ou de professions libérales. Favoriser une ouverture sociale des filières techniques longues serait donc un axe sur lequel les entreprises, au côté des écoles, pourraient contribuer à travailler, afin d’augmenter le nombre de diplômés. Ainsi, les Ambassadeurs de l’Ingénierie, une initiative du Syntec pour envoyer de jeunes actifs parler de leur métier dans les collèges et lycées, pourraient cibler en priorité les établissements de quartiers populaires. On ne peut occulter également la préférence...
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